American Pie 4 : le retour de la bande de potes la plus déjantée d'Amérique

Ils sont de retour !!!

Sortie officielle du quatrième volet des aventures du gang de lycée la plus déjantée d'Amérique.

Neuf ans après la fin du troisième volet d'American Pie - Marions-les, ils se réunissent une nouvelle fois lors d'une fête des anciens ... Ils ont grandi , vieilli mais n'ont surtout pas perdu leur humour, leur mentalité d'adolescent et "l'instrument essentiel de la saga : le pénis de Jim" dixit le magazine Première.

Dans l'interview exclusive du magazine Première, Jason Biggs alias Jim "explique qu'il a insisté pour que les scénaristes ajoutent une scène " : la séquence de la tarte" devenue culte dans le premier volet.

Pour promouvoir leur quatrième film, les producteurs ont voulu miser sur l'amitié et les retrouvailles de cette bande de potes. C'est pourquoi , rien de mieux qu'une séance photomaton pour créer des moments inoubliables et faire le buzz pour sa sortie.

Blandine.

Le Prénom: un film qui laissera son nom dans les comédies françaises.

Fort d'une réussite totale au théâtre Édouard VII avec 250 représentations en plus d'un an, Le Prénom passe sur le grand écran. Les auteurs de la pièce à succès Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière ont reconduit leurs comédiens au cinéma. Une tête d’affiche gagnante avec Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Judith El Zein, Guillaume Le Tonquédec et Françoise Fabian en guest star. Seul Jean-Michel Dupuis est remplacé par Charles Berling.

A la première séance parisienne de 14h00, la comédie arrive en deuxième place du box-office - derrière Avengers - avec 3258 entrées dans 27 salles. 

Reste à savoir si l'adaptation cinématographique aura autant de succès que la pièce.

Voici la bande annonce : 

Benoit.

Une nouvelle jeunesse pour le Roi Lion

« C’est moi Simba c’est moi le roi du royaume animal, c’est la première fois qu’on voit un roi avec si peu de poils, je ferai dans la cour des grands une entrée triomphale, en poussant très royalement un rugissement bestial ». 

Le roi lion revient au cinéma pour le plus grand des plaisirs. Pour ma part et pour beaucoup d’entre vous, ce dessin animé de Walt Disney a marqué notre enfance, et bien plus, puisqu’encore aujourd’hui, nous le regardons avec beaucoup de plaisir et d’engouement. Si aujourd’hui nous le retrouvons au cinéma, ce n’était pourtant pas gagné d’avance d’après le site internet excessif : « on pensait que Disney cantonnerait la diffusion de ses classiques en 3D uniquement au marché de la vidéo. Mais la filiale française de la major américaine vient de décider de franchir l'étape de la salle en annonçant la sortie du Roi Lion 3D le 11 avril prochain ».

Etant donné le succès qu’a eu cette sortie aux Etats Unis, il aurait été dommage d’en priver le public français. En effet c’est 86 millions de recette qui ont été comptés. De plus, la sortie de ce dessin animé en DVD en août dernier a déjà fait ces preuves puisque 120000 DVD ont été achetés.

On peut comparer cette sortie avec celle de Titanic, puisque deux grands chefs d’œuvre, un d’animation et l’autre de fiction reviennent sur nos écrans en 3D. On peut donc penser que nous sommes dans une période remplie de nostalgie où le public préfère revoir un bon vieux classique que de s’attaquer à des nouveautés.

Maintenant, à nous Français de montrer à quel point nous aimons ce dessin animé et allons chanter Hakuna Matata dans les salles de cinéma.

Cloclo, hommage à un grand personnage

Claude François, ce personnage original et atypique, difficile à cerner aussi, qui nous fait chanter et danser depuis les sixties, fait son entrée sur le grand écran. C’est un homme complexe que l’on connait tous de par son diminutif, ses chansons, sa présence scénique, sa qualité de business man ou encore son amour pour les femmes, mais il est difficile de savoir qui il est réellement. C’est à travers ce film que l’on découvre sa vraie personnalité. « Cloclo retrace donc le destin tragique de Claude François, icône de la chanson française décédée à l’âge de 39 ans qui, plus de trente ans après sa disparition, continue de fasciner (et faire vendre) » explique le site inthemoodforcinema. Ce personnage aussi émouvant dans les paroles de ces chansons qu’énervant dans son attitude, notamment avec ses Claudette auxquelles il a mené la vie dure, est en fait un être tourmenté qui cherche le réconfort dans l’amour de son public.

C’est ainsi que le film Cloclo est une réussite : « Malgré une longueur conséquente (2h28), le long-métrage - dans lequel Jérémie Renier réalise une performance exceptionnelle - dépasse le million d'entrées » relate le Figaro.

 

Claude François, 35 après sa mort déchaîne toujours autant les foules. Il a su construire un grand personnage adulé du public. Aujourd’hui ce sont tous ses fans qui accourent dans les salles pour lui rendre un dernier hommage.

Florian Emilio Siri peut donc aujourd’hui se féliciter du succès commercial de son film qu’il a divinement réalisé, et qui plus est , d’avoir su cerner avec justesse le personnage.

Merci Cloclo !!

Titanic recoule dans les salles en 3D

Souvenez-vous de Titanic, ce film de James Cameron mettant en scène Leonardo Dicaprio et Kate Winslet. Nous l’avons tous vu et revu, tant son histoire est touchante. Il a d’ailleurs fait plus de 20,7 millions d’entrées en France lorsqu’il est sorti en 1997, et a battu tout les records de l’époque.

Et bien ce film va ressortir sur les écrans le 4 avril prochain, mais cette fois-ci en 3D «à l'occasion du 100e anniversaire du naufrage du navire, dans la nuit du 14 au 15 avril 1912 » nous précise France soir.
 Cette réplique du film fait beaucoup parler : « Le relooking 3D du film culte Titanic est-il convaincant? » S’interroge l’express. En effet ce n’est pas faute d’avoir essayer, la 3D n’a pas encore su conquérir le cœur des téléspectateurs, et la plupart des films 3D ont été jusqu'à présent des échecs. Si James Cameron n’a pas souhaité remixer son film mais le laisser tel quel, sans aucune nouvelle scène, c’est peut être aussi pour que les nostalgiques de ce film puissent venir nombreux le revoir sans a priori. Il s’est ainsi concentré sur la montagne de travail qu’est de faire un film en 3D : « Ici, sans grande surprise mais avec beaucoup de réussite, la 3D se manifeste principalement à travers la profondeur de champ, exploitée à chaque plan. Le spectateur est au cœur de la foule du port de Southampton, ou en haut du paquebot coulant à pic. Vertigineux. Le détail n'en prend que plus d'importance: du petit objet sur une table, à une bulle d'eau lorsque le Titanic s'abîme au fond de l'océan. » Mais pour rendre tout ceci possible un budget de 18 millions de dollars ainsi que 300 personnes et 60 semaines de travail acharné ont été nécessaires.

Donc nous sommes tous d’accord pour dire que l’on connaît la fin, malheureusement, mais le revoir en 3D peut-être une belle expérience, surtout quand on sait le perfectionnisme de Cameron.

Les hommes changeront-ils un jour ... non c'est IMPOSSIBLE c'est dans leur nature!!

Sortie officielle sur grand écran, du film Les Infidéles - le 29 Février 2012 -  interprété et écrit par Jean Dujardin - Gilles Lellouche et leur bande de copains du cinéma.

Il retrace à travers six courtes histoires et trois interludes des situations d'adultères. Les Echos nous relate certains scketches "potache, délirants et grinçants. On retiendra parmi ces six histoires, l'interprétation de Sandrine Kiberlain en animatrice des "infidèles anonymes" , le couple, tant attendu, Jean Dujardin et Alexandra Lamy dans une histoire sensible et destructrice et bien sûr la virée des deux frenchies à Las Vegas."

Il faut savoir que le duo Dujardin-Lellouche a fait couler de l'encre depuis le 2 Février en raison des affiches publicitaires jugées par l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) comme des "images portant atteinte à la dignité de la femme et à la décence", relate le magazine le Point. Par conséquence, elles ont été censurées et retirées des colonnes Morris et autres panneaux publicitaires.





Le Point nous décrit ces affiches :  Jean Dujardin tenant acrobatiquement une paire de jambes féminines et dénudées avec cette mention : "Je rentre en réunion."
 Et Gilles Lellouche figurant en position plus sexuelle encore accompagné de cette phrase : "Ça va couper, je rentre dans un tunnel." 





Cette polémique a permis à nos deux compères de promouvoir leur nouveau film. Posez-vous la question si, sans ces affiches publicitaires - quelques peu provocantes - il y aurait eu autant d'engouement autour de ce film, malgré ces deux acteurs bankables en tête d'affiche?

Après cette polémique, le film Les Infidèles a refait parler de lui! D'après le Point (dans l'article du magazine studio ciné de l'Express), "une scène du film, évoquant les attentats du 11 septembre, aurait été coupée au montage, pour ne pas nuire à Jean Dujardin lors de la course aux Oscars."

Le Point (dans l'article du magazine Studio Ciné de l'Express) nous raconte la scène : "celle-ci se déroule à New York, dans une chambre d'hôtel où Jean Dujardin invite une de ses maitresse. Alors que sa femme téléphone pour lui demander des nouvelles, un avion vient en arrière-plan pour se crasher dans une des tours jumelles du World Trade Center". Pour ne pas nuire à son image, Jean Dujardin décide avec ces coproducteurs de ne pas prendre le risque de choquer l'Outre-Atlantique avec cette scéne et faire ressurgir, par la même occassion, la boulette de Marion Cotillard sur le 11 Septembre, en 2007.

Enfin, lors d'une interview exclusive dans le magazine Première, Jean Dujardin et Gilles Lellouche nous témoignent de leur appréhension lors de la sortie de leur nouveau film : "Moi, ça me fait un peu peur " dixit Gilles Lellouche , mais Jean Dujardin rétorque en disant "Ça va être à nous d’expliquer, pendant la promo, qu’il existe d’autres formes de comédies, que j’appelle les « dramédies ».

Jean Dujardin et Gilles Lellouche ouvrent une porte vers une nouvelle version du film dans Les Echos : "Maintenant, c'est aux filles de répondre. On a même le titre : "Les Infid'elles". » Chiche... ?"

La Désintégration : "A partir de maintenant vous n'êtes plus des français"

La Désintégration : « une piqûre de rappel »

Philippe Faucon, réalisateur de The Disintégration (sorti le Mercredi 15 Février), nous raconte l’histoire de trois jeunes musulmans et français (Ali, Nasser et Hamza), habitants dans une cité lilloise. Peu à peu, ils finissent par se décourager, s’isoler de leurs familles et se tourner  vers une communauté radicale qui comprend leurs déceptions, leurs failles et leurs révoltes face à cette société dans laquelle ils sont nés et dont ils ne pensent plus faire partie.  

« La Désintégration – France, je vous hais », titre choc du journal Le Point résume un aspect psychologique que nous connaissons actuellement dans notre société notamment dans les cités.  Philippe Faucon met en scène « la dérive de ces jeunes français d’origine arabe, qui disent non à la France, au modèle français, pour se tourner vers l’islamisme et parfois les attentats ».

De plus, l’Express explique que le réalisateur  « arpente un terrain miné, riche en possibles raccourcis dangereux ». Malgré cela, il réalise le film avec « l’intelligence de poser des questions au lieu d’asséner des réponses » tels que « Qu’est-ce qui pousse un homme à passer l’acte terroriste ? Qu’est ce qui provoque cette négation de l’autre, le quidam de la vie transformé en empêcheur de bien vivre en rond et dont l’existence ne vaut plus rien ? ». D’après le journal, il trace un portrait de « l’inhumanité banale » de notre société tout en modelant une interprétation solide à travers le jeune prodige Rashid Debbouze.

Le Monde va encore plus loin, en mettant en relation les propos dit par le ministre de l’intérieur Claude Guéant et le film de Philippe Faucon.  

Enfin, Christophe Narbonne - du journal Première – n’hésite pas à nous donner son avis sur le film. Il emploi des expressions pour nous montrer l’impact de la « désintégration » sur certaines couches de la population : « piqûre de rappel », « sentiment d’injustice et d’exclusion ».

Portrait sur Rashid Debbouze

Raschid Debbouze, 25 ans,  est actuellement à l’affiche du nouveau film de Philippe Faucon « La Désintégration ». Jeune talent de cette année 2012, Rashid fait ses premiers pas dans le cinéma en interprétant « un jeune Français désespéré, manipulé par un recruteur de Jihad islamique ».

Cela fait depuis quelques années que Rashid fait son chemin lors de représentation dans des one man show. D’après le Parisien, Rashid a été repéré par Philippe Faucon en feuilletant « Pariscope » sans se douter qu’il avait un lien de parenté avec Jamel Debbouze.

Première, est revenu sur le parcours exceptionnel de Rashid Debouzze ainsi que sur son personnage dans le film « La Désintégration » - dans une interview signé Christophe Narbonne.

http://www.premiere.fr/Cinema/Exclus-cinema/Interview-video/Desintegration-l-interview-de-Rashid-Debbouze

Retrouvez Rashid Debouzze dans son nouveau spectacle « A l’indifférent ».

La vérité, ils nous ont manqué !

La vérité si je mens sorti en avril 1997 et réalisé par Thomas Gilou a rapidement tutoyé les sommets du box office avec 4,9 millions d'entrées. La vérité si je mens 2, au cinéma quatre ans plus tard, fera nettement mieux avec 7,5 millions de spectateurs. Aujourd'hui et onze ans après José Garcia, Bruno Solo, Gilbert Melki, Richard Anconina et Vincent Elbaz à qui "nous avons manqué" sont toujours de la partie pour la suite de la trilogie... "jamais deux sans trois".

C'est donc un pari osé pour les experts du Sentier qui veulent avec ce nouveau chapitre dépasser le précédent. Mais avec des pros de la promo, comme José Garcia et Bruno Solo les cinq amis n'ont pas eu de mal à atterrir sur les plateaux de télévision (Canal+, France 2 et M6 coproduisent le film) d'Arthur, Drucker, Denisot, Ardisson, Ruquier, dans le SAV d'Omar et Fred, dans les émissions de radio (RTL notamment) ou encore dans les magazines comme Paris-Match. La stratégie de communication, axée sur les retrouvailles de l’équipe, sa complicité et sa bonne humeur va permettre à la comédie d'atteindre les 8 millions d'entrées, soit autant que le numéro 2. Pour ça, les acteurs sont aussi allés au-devant de leurs fans dans une douzaine de cinémas de France et de Belgique pour l'avant-première de leur film.

Une avant-première pas accessible à tout le monde puisque le distributeur de La Vérité si je mens ! 3 a interdit l’entrée aux journalistes n’assurant pas la publication d’une critique positive avant la sortie du film... 

Une stratégie plutôt étonnante, lorsque l'on sait que 25 millions d'euros ont été mis dans la campagne publicitaire du film. Une erreur sans doute du distributeur quand on voit que le film a été "vulgaire et ennuyeux" pour le Figaro ou "tout ça pour ça!" pour Cinéobs.

En attendant, La Vérité si je mens ! 3 est pour la deuxième semaine consécutive en tête du box office français. En effet en moins de deux semaines, le film a dépassé le cap des 3 millions de spectateurs dans les salles en France. Et si vous n'en faites pas partie, voici la bande annonce: 

Polisse, un film rempli d'émotion.

Polisse est l’histoire d’une brigade de protection des mineurs, qui cherche à lutter contre la violence, la maltraitance, la pédophilie, tous ces sujets tabous, qui détruisent chaque année des millions d’enfants dans le monde, des enfants malheureux, isolés, que l’on croise dans la rue, mais dont le désespoir nous est inconnu. « Polisse, c’est « police » écrit par quelqu’un qui n’en connaitrait pas l’orthographe, un enfant, par exemple » nous explique le site du festival de Cannes. Dans ce film, signé Maïwen, et mettant en scènes des acteurs attachants et émouvants, dont Karin Viard et Marina Foïs, toute deux nominées pour le césar de la meilleure actrice ou encore Joey starr, faisant preuve d’un charisme époustouflant, le spectateur subit la dureté de ce film et est plongé dans cette réalité qu’est la violence sur les mineurs.

Le site du scandaleux mag résume bien l’intensité du film : « Polisse ne laisse pas indifférent. On l’aime ou on le déteste, on le trouve génial ou obscène, voire même malsain, mais Maïwenn remplit son objectif : nous donner des émotions. On rit, on pleure, on a de la peine, on peut même être horrifié, mais une chose est sûre, c’est le genre de film après lequel on ressort sans voix ».

En effet ce film est basé sur des faits réels, et n’est pas tout public, nous suivons de manière passive la vie que mène la brigade de protection des mineurs au quotidien, entre viols, violence, assassinats, témoignages, ces personnes qui chaque jours sont confrontés au pire, et entendent des témoignages horribles d’enfants maltraités et en rentrant chez eux le soir, doivent continuer à vivre de façon normale. « Le pire est qu’ils se doivent de rester calmes, professionnels, dans la mesure du possible, même si ce qu’ils entendent les choquent profondément » raconte la même source.

Ce film, propose des avis très partagés, mais ce qui est sûr, c’est qu’il est nominé au festival de Cannes et pas qu’un peu : « c’est le carton plein pour Polisse de Maïwenn, qui arrive en tête de la course avec 13 citations, notamment dans la catégorie convoitée du Meilleur film français » nous dévoile le site terrafemina. Mais pas seulement puisque le titre de meilleur réalisateur, meilleure actrice (Karin Viard et Matina Foïs), meilleur acteur dans un second rôle (Joey Starr), meilleure actrice dans un second rôle (Karole Rocher) mais encore bien d’autres sont à l’honneur.

Ainsi ce film, aussi touchant qu’alarmant est bel est bien un succès…

Intouchables : Une ascension au 7ème ciel.

Avec plus de 18,5 millions d’entrées en 12 semaines la comédie d'Olivier Nakache et Eric Toledano (réalisateurs de Nos Jours heureux et Tellement proche) a atteint la troisième place de l'histoire du box-office des films en salles en France. Le film se place derrière Bienvenue chez les ch’tis et Titanic respectivement deuxième et premier.

Sorti le 2 novembre 2011, le film a profité des jours fériés et des fêtes de fin d’année pour conquérir les Français. Il pourra sans doute dépasser les 19 millions de spectateurs après les vacances de février. Avec 9,5 millions d'euros de budget et 114 millions d'euros de recette, Intouchables est déjà plus rentable que le film de Dany Boon.

Mais Intouchables est avant tout une réussite en matière de communication, une affiche simple qui synthétise grâce aux deux acteurs principaux les sentiments partagés sur ce film profond et divertissant. Incontestablement, l’efficacité et la simplicité de l’affiche est une réussite à la hauteur du film.

Selon François Atger (Directeur Communication de l' Agefiph), Intouchables doit aussi sa réussite à Facebook, Twitter et consorts: «Avant la sortie, il y avait un buzz positif très important sur les réseaux sociaux, au point qu'on peut se demander s'ils n'ont pas plus d'impact que les colonnes Morris.»

Les réseaux sociaux et le bouche-à-oreille ont été déterminants et ont même rendus certaines répliques cultes: «Pas de bras, pas de chocolat» qui resteront dans les annales.

Pour les fans, Intouchables sortira en DVD le 28 mars et sera diffusé sur TF1 en 2013.

The Artist : Un film qui laisse sans voix.

Michel Hazanavicius, 44 ans, est sans doute le plus ambitieux des cinéastes français en activité, en effet le journal du dimanche relate des débuts difficiles pour le réalisateur.

"The Artist n’existe que parce que Thomas Langmann a mis de sa poche ce qui manquait pour qu’il se fasse en studio à Los Angeles », explique-t-il. Seulement, Thomas Langmann voulait que Michel Hazanavicius accepte de mettre en scène le remake de Fantômas qu’il projette depuis des années. Ce dernier a accepté à condition de faire le remake de la version muette de Louis Feuillade.

Après avoir convaincu sa compagne Bérénice Bejo d’être l’actrice principale, le plus dur fut de convaincre Jean Dujardin - très en froid avec Thomas Langmann- de devenir la vedette de ce film.

Mais une fois le film lancé, rien ne pouvait plus les arrêter. Cela fait un mois qu'on ne parle plus que de The Artist, entre les Golden Globes, les nominations aux Oscars et les César, le site rewiever ne trouve pas d’adjectif assez fort pour parler de son succès.

Mais le film étant sorti des salles prématurément, avant même d’avoir connu l’apogée de son succès, distributeur et producteurs ont eu la bonne idée d'offrir une deuxième vie en salles au long-métrage.

The Artist est à nouveau visible dans plus de 200 cinémas à travers l'hexagone, d’après la même source, le film s'offre même une toute nouvelle affiche, qui met en avant ses récents titres de gloire avec comme accroche : "Le film qui enchante l'Amérique". "C’est à juste titre puisqu’il s'offre aujourd'hui une deuxième jeunesse aux États-Unis, juste avant les Oscars, puisqu'il sera projeté dans 600 cinémas américains, cette semaine, contre 200 fin 2011".


Pour aller plus loin sur les récompenses de The Artist aux Césars et aux Oscars rendez vous sur Séance Prod.